L’Union européenne est parvenue cette semaine à un accord sur l’IA Act, texte régulant l’intelligence artificielle.

Un projet européen qui, s’il encadre les perspectives de l’IA générative, pourrait offrir des opportunités aux entreprises selon Vincent Luciani, PDG et cofondateur d’Artefact.

Une première mondiale. Le Conseil de l’Union européenne, qui regroupe les ministres des 27 Etats membres de l’UE, est parvenu à un accord ce vendredi 2 février sur la régulation de l’intelligence artificielle (IA). Le texte, baptisé « AI Act », vise à encadrer le développement et l’utilisation de l’intelligence artificielle et fait suite à un accord politique survenu en décembre entre les négociateurs du Conseil, de la Commission européenne et du Parlement européen. Un vote formel des eurodéputés devrait suivre au printemps, avant une entrée en vigueur prévue dans les deux ans.

Concrètement, cette régulation sera proportionnelle au niveau de risque de l’IA. Pour les IA « classiques » (prédictive, de traitement de l’image, de la voix, etc.) cette régulation sera proportionnelle au niveau de risque. Les usages les plus dangereux, comme le crédit social chinois, seront interdits. De même, les dispositifs de surveillance ou d’identification biométrique seront limités à quelques exceptions de sécurité, tandis que les usages dits « à haut risque » (santé, éducation, démocratie, droits fondamentaux) devront être contrôlés par un humain.

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